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Vous pouvez y croire ou penser qu’il
n’existe pas. Vous pouvez le chanter ou le
traîner dans la boue. Le chercher toute
votre vie, mais ne pas le trouver. Vous
couvrir contre lui, mais un jour, vous le
rencontrerez, et vous baisserez les bras
sans force... Et levez les yeux. Et vous
lèverez les yeux.
On dit il naît dans le cœur. Et puis, on dit
beaucoup de choses, mais les mots passent à
travers lui sans le toucher. Il n’est ni
plus haut ni plus bas que les mots – il est
au-dehors/en-dehors. Il est en-dehors de
tout et dedans. Il existait avant la
naissance de l’univers et il existera après.
Mais il n’entre dans l’univers que par le
cœur. Vous entendez ? Il bat.
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